Je veux bien entendre les critiques, il ne faut pas non plus raconter n’importe quoi. Le PLD n’a fusionné avec personne, notre destin reste entre nos mains. L’UDI ne s’est jamais déclaré libéral, mais a souhaité avoir en son sein une composante libérale. Nous y voyons des avantages, comme l’UDI y a vu les siens. Et non, nous ne sommes pas membres de l’ALDE puisque nous sommes dans le registre des inepties.
J’admets que nous faisons en priorité la promotion de notre projet économique car c’est ce qui préoccupe le plus nos membres et nos sympathisants attachés à la liberté sous toutes ses formes, cela ne nous empêche pas de revenir sur la liberté d’expression bridée, sur l’école ou l’intrusion de l’Etat dans nos vies privées. Nous le faisons très régulièrement. Mais il faut admettre qu’une stratégie de réformes chocs intègre un aspect fiscal fondamental tant la pression des taxes et impôts est devenue insoutenable, la dépense publique excessive et l’extension de l’Etat nocive. Comment ignorer la nécessité de promouvoir une vraie flexibilité, une dérèglementation réfléchie (prof protégées, foncier, normes…)… Si vous pensez qu’il y a une stratégie alternative pour défendre nos libertés, nous sommes preneurs.
Car un parti évolue au gré de ceux qui participent à son développement. Vous êtes tous bienvenus pour contribuer aux travaux du PLD. Nous n’attendons que ça.